En route vers le succès avec la Smith School of Business

Nelson Mandela a dit : « L’éducation est l’outil le plus puissant que vous pouvez utiliser pour changer le monde ». L’éducation combinée aux qualités développées dans le sport de haute performance donne sans aucun doute une grande capacité à atteindre le succès dans la vie, et même de changer le monde.

Un partenariat de huit ans entre le Comité olympique canadien et la Smith School of Business de l’Université Queen’s a été conclu en 2015 pour faciliter l’obtention d’une éducation de calibre mondial.

Le programme est offert par l’intermédiaire de Plan de match (propulsé par Deloitte), le programme canadien de mieux-être total des athlètes permettant aux athlètes admissibles (athlètes olympiques, paralympiques et des équipes nationales) de demander des bourses pour suivre divers programmes à la Smith School of Business, y compris une maîtrise en administration des affaires. Plusieurs athlètes de l’ICS de Calgary ont obtenu des bourses d’études complètes pour la Smith School of Business grâce à ce programme, dont Nathaniel Miller (water polo) et Jessica Zelinka (athlétisme).

Elspeth Murray, professeure adjointe et doyenne associée pour les programmes de maîtrise en administration des affaires de la Smith School of Business, affirme que ce partenariat donne une excellente occasion au Comité olympique canadien et à la Smith School of Business d’ajouter de la valeur à leur organisation.

« Le comité olympique canadien et la Smith School of Business ont en commun une culture de haute performance », explique-t-elle. « Chaque partenaire a un approche unique et très efficace et partage ses pratiques gagnantes lors d’ateliers et de réseautage. »

La patineuse de vitesse sur longue piste Lauren McGuire est en transition après avoir passé sa vie dans le domaine du sport de haute performance et figure parmi les athlètes de l’ICS Calgary ayant récemment reçu une bourse d’études pour la Smith School of Business grâce au programme Plan de match, tout comme le sauteur à skis Eric Mitchell qui a gagné une bourse d’études pour le programme accéléré de maîtrise en administration des affaires.

Après deux années de frustration passées à supporter une hernie discale dans son dos, Lauren a réalisé qu’elle devait explorer les options qui s’offraient à elle en dehors du sport. Elle a entendu parler des bourses d’études de Plan de match à l’ICS Calgary et elle a été intriguée.

Lauren, titulaire d’un baccalauréat en sciences biologiques et en italien de l’Université de Calgary, commencera le programme d’un an de maîtrise en administration des affaires en janvier.

Même si elle n’avait jamais vraiment envisagé de faire une maîtrise en administration des affaires (elle voulait aller en médecine ou en médecine dentaire), une expérience de travail en tant que mentor de l’équipe nationale pour filles âgées de 8 à 15 ans participant à des sports d’hiver au sein du programme « Girls Only Athletic Leadership » de WinSport l’a amenée à réaliser qu’elle adorait le mentorat et aider les autres à atteindre leur plein potentiel.

« C’était très engageant d’aider ces filles à persévérer dans le sport, qu’elles soient athlétiques ou non », affirme-t-elle. Elle mentionne également que cette expérience l’a poussée à modifier ses plans. « J’ai compris que je ne me sentirais pas aussi engagée en faisant des chirurgies dans la bouche des gens », plaisante-t-elle.

Elle estime que son engagement à tirer profiter au maximum des ateliers sur les compétences de vie offerts aux athlètes de l’ICS Calgary (comme apprendre à parler au public et l’autopromotion) lui a permis de développer des compétences nécessaires pour le programme de maîtrise en administration des affaires de la Smith School of Business. « Un petit investissement de temps au fil des années m’a permis de bâtir un bon curriculum vitæ, » dit-elle. « Ils cherchaient des gens ayant mes compétences et tout s’est passé très vite ».

Elle affirme que les athlètes de haut niveau possèdent plusieurs des caractéristiques que la Smith School of Business recherche chez ses élèves. « Ils ont des compétences en leadership, sont déterminés, savent collaborer et sont persévérants, » dit-elle. « Nous savons aussi que ces athlètes seront réceptifs à notre approche d’apprentissage en équipe. Ils savent comment contribuer à une équipe de haut niveau et seront un atout dans tous nos programmes. »

Lauren s’intéresse surtout au domaine du développement organisationnel et à l’amélioration des environnements de travail d’équipe dans les entreprises et au sein des ressources humaines. Elle affirme être impatiente de travailler avec des étudiants qui partagent ses idées au sein du programme de maîtrise en administration des affaires. « Je suis heureuse et reconnaissante d’avoir l’occasion de passer d’une super équipe à une autre, » dit-elle.

Dans le cadre du partenariat stratégique de huit ans, jusqu’à 1 200 athlètes de Plan de match sont admissibles à une bourse d’études dans 11 programmes différents. Au cours des deux ans écoulés depuis l’annonce du partenariat, 11 athlètes canadiens ont joint les rangs des diplômés de la Smith School of Business. De plus, 49 athlètes sont actuellement inscrits dans des programmes de maîtrise.

Les bourses d’études couvrent tous les frais des programmes à temps plein de Queen’s de maîtrise en administration des affaires, de maîtrise en administration des affaires accéléré, de la MBA pour cadres, de la MBA pour cadres américains, de la maîtrise en entrepreneuriat et en innovation, de la maîtrise en finances à Toronto, de la maîtrise en gestion de l’intelligence artificielle, du diplôme universitaire supérieur en affaires, du certificat en affaires et de la formation pour cadres.

Les demandes peuvent être envoyées à Plan de match à l’adresse https://www.mygameplan.ca/resources/education . *Les demandeurs ne recevront pas tous une bourse.

Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo crédit: Dave Holland @csicalgaryphoto
11/10/18

Paralympic Athlete, Game Plan, Education, Canadian Olympic Park, Deloitte, Olympic Athletes

Balayez fort vers « Curl with a Rock Jock »!

De retour à la demande générale : c’est le temps de « Curl with a Rock Jock »! Après le succès retentissant de l’événement inaugural de l’année dernière, nous relançons l’événement cette année. Le jeudi 4 octobre, 24 équipes composées de membre du siège social seront jumelées avec un athlète olympique ou paralympique pour participer à un bonspiel (ou tournoi) amusant et quelque peu compétitif pour amasser des fonds pour l’ICS Calgary et le Benson Concussion Institute.

Huit des meilleurs joueurs de curling au monde seront sur place au Glencoe Curling Club pour entraîner les participants du bonspiel, notamment Kevin Koe, John Morris et Cherryl Bernard. SI leurs conseils d’entraînement ne sont pas suffisants, les joueurs pourront acheter des coups ou des balayages des experts pour les aider à gagner. Ne serait-ce pas merveilleux si vous pouviez le faire aux Jeux olympiques?

L’événement de cette année est de nouveau commandité par la Hearing Loss Clinic (HLC), une clinique auditive avant-gardiste et aux employés empathiques ayant plusieurs emplacements dans le sud de l’Alberta et dans la région de Kootenay Est.

Travis Rhodes, gestionnaire des partenariats de la HLC, est heureux de collaborer avec l’ICS Calgary et le Benson Concussion Institute. En fait, en raison de leur commandite de l’événement de l’année dernière, l’équipe de la HLC a agrandi son offre de services et est le chef de file dans le domaine émergent de l’évaluation et de la gestion des commotions cérébrales dans le secteur de l’audiologie.

« L’audiologie dans le sport de haut niveau, y compris l’évaluation des commotions cérébrales, est devenue une partie intégrante de notre champ de pratique clinique. Notre protocole pour les commotions en audiologie est très complet et fait partie des meilleurs de sa catégorie », explique M. Rhodes. Récemment, la directrice de l’audiologie, Dre Whitney Reaman, a reçu une double certification en évaluation et gestion des commotions cérébrales et en rééducation vestibulaire, une certification incroyablement unique dans le domaine de l’audiologie en clinique privée et l’équipe de la HLC en est très fière.

L’équipe de la HLC aide les athlètes en s’occupant de la partie de l’évaluation des commotions cérébrales concernant l'audiologie, mais elle est très fière et passionnée de servir une grande variété de groupes ayant des problèmes auditifs, notamment des enfants, des adultes vieillissants, des athlètes et des musiciens. M. Rhodes dit que l’équipe est fière d’appuyer le travail incroyable de l’ICS Calgary et du Benson Concussion Institute et honorée de faire partie d’une équipe gagnante dévouée à l’excellence continue. « Nous avons toujours dirigé avec notre cœur », dit-il.

L’argent amassé permettra d’offrir aux athlètes des services relatifs à la prévention des blessures, aux traitements médicaux, à la santé mentale et aux exigences en matière d’entraînement ainsi que d’appuyer la recherche sur les commotions cérébrales au Benson Concussion Institute.

Tous les billets pour l’événement sont déjà vendus, mais il est encore possible de miser sur les articles de l’enchère en ligne, y compris un souper pour 10 au Paintbox Lodge avec le champion olympique John Morris, des cartes-cadeaux de WestJet de 700 $ et de Hôtel Fairmont de 250 $ ainsi qu’une suite corporative au Saddledome le 10 mars 2019 pour une partie de hockey de la LNH entre les Flames de Calgary et les Golden Knights de Las Vegas.

La triple Olympienne et médaillée de bronze au skeleton en 2006, Mellisa Hollingsworth, sera la conférencière d’ouverture de l’événement « Curl with a Rock Jock » de cette année. Mellisa a été tellement inspirée par l’événement de l’année dernière qu’elle a commencé à jouer au curling récréatif de manière sérieuse et a organisé un événement semblable pour amasser des fonds pour les prochains Jeux d’hiver du Canada qui auront lieu à Red Deer en Alberta. Elle a amassé 50 000 $. « Je suis devenue une vraie passionnée de curling », dit-elle en riant. « C’est l’événement le plus amusant auquel j’ai participé. »

Maintenant, dépêchez-vous d’aider à amasser des fonds pour l’ICS Calgary et le Benson Concussion Institute. Mais ne laissez pas une mordeuse vous empêcher de viser le bouton. Faites simplement attention à la ligne arrière et frappez cette garde!

Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo crédit: Dave Holland @csicalgaryphoto
03/10/18

Community Engagement, Olympic Legacy

Kyle Shewfelt : Le seul et unique

Maillon héritage

Kyle Shewfelt : Le seul et unique

Après avoir longuement marché dans le centre-ville de Calgary en un après-midi de lʼautomne 2012, Kyle Shewfelt a réfléchi à une grande question : « Quʼest ce que je fais? »

Le champion olympique en gymnastique de 2004 venait tout juste de conclure une entrevue avec une équipe de recrutement. Depuis sa retraite, il voguait d’une aventure à l’autre, dans des domaines comme l’immobilier, le mentorat, et l’enseignement du yoga. L’entrevue devait mener à un emploi dans une grande entreprise, avec sécurité et permanence. Mais dès son départ, il savait que quelque chose clochait.

« Au cours de cette longue marche, j’ai dû me demander ce que j’étais en train de faire, » se souvient Shewfelt. « Après Beijing, j’ai passé quatre ans à passer d’un emploi à un autre. Je nʼavais pas d’objectif central. Jʼétais perdu et je nʼavais aucune responsabilité. » Trouver un endroit où se poser semblait être la bonne chose à faire.

Toutefois, une idée née il y a plusieurs années continuait de faire son chemin dans sa tête. Tout au long de sa carrière, Shewfelt a admiré de nombreux gymnastes américains exceptionnels, dont certains ont ouvert leur propre gymnase. « Je me sentais inspiré par ces champions olympiques qui ont aussi créé un héritage après leurs carrières, » dit-il. Lui aussi aimait l’idée d’un jour ouvrir son propre gymnase.

Il est allé jusquʼà dévoiler son projet à son amie de longue date Krystal Boychuk lors d’une fête, alors qu’ils étaient dans la mi-vingtaine. Il s’est tourné vers moi et m’a dit : « Je vais ouvrir un gymnase un jour, et tu vas devenir ma directrice, » se souvient Boychuk avec un éclat de rire. À ce moment, elle a accepté avec enthousiasme, sans se douter qu’un jour, l’entente serait officialisée.

Shewfelt nʼen était pas certain non plus, et il a souvent douté sérieusement de sa capacité à faire le saut dans le monde de l’entrepreneuriat. « Je voulais ouvrir un gym, mais je nʼavais pas le courage, » avoue-t-il. « Je ne savais pas tout ce que ça impliquait. »

En fin de compte, sa vision s’est forgée autour des souvenirs récurrents de sa jeunesse, alors qu’il aspirait à devenir un athlète olympique, et qu’il s’entraînait quatre heures chaque après-midi, avant de revenir à la maison pour manger et faire ses devoirs. Il était extraordinairement méticuleux et consciencieux au gymnase et à l’école, mais une fois par mois, lorsque son magazine de gymnastique arrivait, il lâchait tout pour le dévorer d’une couverture à l’autre.

Ce souvenir a rappelé à Shewfelt à quel point il aimait la gymnastique. « Je ne faisais pas semblant, » s’exclame-t-il. « Le sport mʼa apporté tellement de joie, et quand je m’y suis finalement reconnecté, tout est devenu très clair. »

À la fin de sa longue marche, Shewfelt, maintenant âgé de 36 ans, a pris la grande décision qui allait tracer son destin : il allait ouvrir son propre gym. « Je ne suis pas un gars d’entreprise, » explique-t-il. « Je voulais être mon propre patron. Jʼétais prêt à affronter mes peurs, et je voyais mon avenir dans ce gymnase. »

Avec sa vision en tête, il a appelé Boychuk, qui, à ce moment, élevait ses deux jeunes enfants à la maison. En quelques minutes, ils ont conclu une entente, et à partir de ce moment, Shewfelt s’est lancé à temps plein dans la réalisation d’un plan d’affaires, en travaillant seize heures par jour pour en faire une réalité.

Après avoir trouvé lʼemplacement idéal au printemps 2013, les choses sont devenues sérieuses. Shewfelt a trouvé du financement, et a suivi plusieurs cours d’entrepreneuriat à l’Université Mount Royal. Ces expériences, dit-il, lui ont finalement donné la confiance pour devenir un entrepreneur.

« Jʼai connu du succès dans le sport parce que j’étais prêt à travailler plus fort que tout le monde, à tout donner », dit-il. « Je suis pareil en affaires. »

Moins dʼun an après cette décision cruciale, Shewfelt a ouvert son gymnase dans le sud de Calgary, le Kyle Shewfelt Gymnastics. Il se distingue des autres centres par sa vocation purement récréative, une priorité pour Shewfelt. « J’ai déjà suivi le parcours compétitif, et je n’en voulais plus dans ma vie », dit-il. « Jʼai tâté le marché, et je savais quʼil y avait déjà de nombreux gymnases axés sur la compétition à Calgary. »

Shewfelt dirige les athlètes qui présentent un potentiel compétitif vers d’autres gymnases et demeure ancré dans son approche originale. « En ouvrant son gym, Kyle a créé un espace pour tous, peu importe l’âge et le degré d’habileté », affirme Boychuk, la directrice du programme. « Cʼest son héritage. »

Bien sûr, l’héritage de Shewfelt dans le monde de la gymnastique est largement reconnu et admiré. Il est le seul médaillé olympique canadien dans l’histoire de ce sport, grâce à sa médaille dʼor lors de l’exercice au sol en 2004. Son exploit héroïque, soit de revenir à la compétition après s’être cassé les deux jambes onze mois avant les Jeux de Beijing en 2008, a consolidé davantage sa position comme lʼun des meilleurs et des plus courageux athlètes canadiens de tous les temps.

Mais maintenant, cʼest son héritage en tant que bâtisseur de communauté, d’entrepreneur, de mentor, de bénévole, de mari et de père qui motive Shewfelt chaque matin.

Il sait pertinemment que ses succès dans le sport et dans la vie s’appuient sur les mêmes fondements : un puits profond de motivation intrinsèque et une extraordinaire minutie. Malgré tout, ce qui est peut-être le plus remarquable à propos de Shewfelt, c’est son énergie sans bornes, son enthousiasme et son optimisme qui le suivent dans tous les aspects de sa vie.

« Il est sérieux et a la bosse des affaires », remarque Boychuk. « Mais il est aussi très amusant! Parfois, au beau milieu de la journée, il monte le volume au max dans le bureau et nous dansons tous ensemble. » C’est ce qui fait qu’il est « le seul et unique ».

Shewfelt affirme quʼil est toujours à la poursuite de la meilleure version possible de lui-même, et il reconnaît qu’il y est presque. « Jʼai reconnecté avec mon but », dit-il joyeusement. « Je sens que je fais exactement ce à quoi j’étais destiné. »

Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
20/09/18

Olympic Games, Olympic Legacy, Olympic Athletes

Finnian Young est prêt à prendre son envol

Lorsque le jeune Finnian Young, originaire de Calgary, prenait des leçons de ski alpin, il s’attirait toujours des ennuis parce qu’il faisait trop de sauts, ce qui ennuyait son entraîneur. Au lieu de le réprimander pour ses tendances de haute voltige, sa mère l’a plutôt inscrit au ski acrobatique.

Maintenant, Finnian, 19 ans, est le plus récent membre de l’équipe de demi-lune acrobatique de Prochaine génération du Canada et ses objectifs sportifs volent aussi haut que lui. « Je veux me rendre au sommet », dit-il. « Les Jeux olympiques, les X-Games. Je veux être un skieur professionnel depuis que j’ai quatre ou cinq ans. »

Les débuts de Finnian dans le sport ont été typiques du plus jeune enfant, c’est-à-dire qu’il pourchassait ses deux frères aînés en dévalant les pentes. « Je me souviens que j’essayais toujours de faire leurs sauts. À ce moment-là, mes parents voulaient que j’arrête », dit-il en riant.

Mais il était évident, très tôt, que Finnian était fait pour voler et que personne n’allait l’en empêcher. Ses frères lui avaient montré la voie et il l’a suivie sans jamais regarder derrière lui. Une fois que sa nature compétitive s’est installée, il a progressé encore plus dans le sport. « Je suis celui qui est passé au niveau supérieur », dit-il.

Finnian a perfectionné ses compétences pendant sept ans à la WinSport Academy, un centre de sports de neige pour le développement des athlètes situé au Parc olympique du Canada. L’Académie est conçue pour favoriser la recherche, le développement athlétique, l’acquisition de compétences ainsi que le développement cognitif, émotionnel et social et pour aider les athlètes à atteindre leur potentiel de compétition nationale.

« L’Académie a un programme de très haute qualité », dit Finnian et il remercie le programme de lui avoir donné accès aux meilleures installations et de l’avoir aidé à progresser aussi loin dans son sport.

Maintenant qu’il fait partie de l’équipe Prochaine génération de ski acrobatique Canada, il a accès aux services de l’ICS Calgary. Selon Miranda Sallis, directrice des services de performance à l’ICS Calgary, l’équipe est bien appuyée et a pour objectif d’aider les athlètes comme Finnian à faire partie de l’équipe nationale.

« L’équipe de parc à neige et de demi-lune de Prochaine génération a une équipe de soutien intégré complète autour d’elle, financée par Freestyle Canada et en partenariat avec l’ICS Calgary », explique Mme Sallis. « Ils ont adopté un cheminement du développement très important et ils souhaitent accélérer le processus pour améliorer le classement national des athlètes d’ici les deux prochaines années », ajoute-t-elle.

Pour l’instant, Finnian se concentre à faire cette transition et il travaille aussi fort que possible, tant dans la demi-lune qu’à l’extérieur, pour pouvoir la faire. Pendant l’été, il travaille à temps plein à la boutique de location de WinSport, où il s’entraine également tous les jours. « WinSport est pratiquement ma deuxième maison », plaisante-t-il.

Pour un jeune athlète avec des objectifs aussi ambitieux, Finnian est un jeune homme plutôt détendu. Il adore ce qu’il fait, il se concentre à être le meilleur et travaille fort pour y arriver. « Je suis un homme facile à vivre et ordinaire », dit-il. « Il n’en faut pas beaucoup pour me rendre heureux. »

Institut canadien du sport de calgary: @csicalgary
Rédigé par Kristina Groves: @kngrover
Photo crédit: FreestyleCanada.Ski
27/09/18

Integrated Support Team, NextGen, Ski Cross


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